C’est ici, près de l’Estaque, sur les hauteurs, que les enfants des ouvriers se baignaient. Aujourd’hui, il ne reste plus que des ruines. Même la pinède, autours, a brulé. Les voitures volées étaient jetées là, pêle-mêle, dans la nature. Des gangsters de bas quartier ont foutu le feu, pour qu’il ne reste plus que des carcasses de voitures calcinées.